À mesure que la date limite de dépôt des candidatures à l’élection présidentielle de 2026 approche, le parti Les Démocrates, figure de proue de l’opposition au Bénin, entre dans une phase décisive. Le Conseil national convoqué ce lundi s’annonce comme un tournant : il devra trancher la délicate question du duo présidentiel appelé à porter les espoirs du camp démocratique.
Plus qu’un simple choix de personnes, il s’agit d’une décision stratégique majeure.
Elle déterminera non seulement le positionnement du parti face au pouvoir en place, mais aussi sa capacité à rassembler, pacifier, et surtout proposer une vision nationale cohérente et réalisable.
L’enjeu : Unir, pas diviser
Le parti est aujourd’hui traversé par des dynamiques internes multiples — ambitions personnelles, sensibilités régionales, divergences tactiques. Or, pour gagner, il ne suffit pas d’être opposant, il faut être unificateur. Le peuple béninois attend non des querelles de personnes, mais un projet commun, porté par des hommes et des femmes capables de se hisser au-dessus des considérations partisanes.
C’est dans ce contexte que le nom d’Armel Sourou Degan s’impose peu à peu comme l’évidence tranquille, la réponse consensuelle à une problématique complexe.
Armel Sourou Degan : Une identité plurielle au service de l’unité nationale
Originaire du Centre par son père, du Sud par sa mère, et natif du Nord, Armel Sourou Degan incarne à lui seul la géographie complète du Bénin. Il n’est l’otage d’aucune région, d’aucune tendance, d’aucun courant. Il est, tout simplement, un fils du Bénin, et cela change tout.
Dans une République où les lignes régionales influencent parfois les choix politiques, ce profil transversal est une force rare. Il désamorce les tensions identitaires, et ramène la discussion sur l’essentiel : le projet, la compétence, l’unité.
Un leadership jeune, discipliné et fédérateur
Armel Sourou Degan n’est pas simplement un équilibre régional. Il est aussi une réponse générationnelle.
Il représente cette jeunesse béninoise formée, informée, engagée, qui ne se contente plus de slogans, mais veut des résultats. Il a démontré, par son parcours, sa capacité à conjuguer idéaux et efficacité, à articuler vision politique et sens pratique.
Mais surtout, il possède ce que beaucoup cherchent et peu incarnent : la discipline dans l’engagement, la fidélité à une ligne claire, et la capacité à écouter toutes les voix sans se laisser enfermer dans aucun camp.
Ni aile, ni chapelle : le Parti avant tout
Dans les débats actuels sur les candidatures internes, Armel Sourou Degan ne joue pas la carte des rivalités. Il ne défend pas une écurie politique, mais une cause commune. Il ne cherche pas à triompher sur ses camarades, mais à harmoniser les talents, à faire des différences internes une richesse plutôt qu’un obstacle.
C’est cette posture d’homme de rassemblement qui fait de lui un recours naturel. Dans une maison politique qui a besoin d’unité plus que jamais, il refuse les étiquettes, et se place là où l’intérêt collectif le commande : au centre.
Le moment de vérité pour Les Démocrates
Le choix du duo présidentiel n’est pas une formalité. C’est un test : celui de la maturité politique du parti, de sa capacité à transcender les divisions, à choisir la victoire plutôt que la vengeance, le peuple plutôt que les calculs.
En ce sens, désigner Armel Sourou Degan, c’est :
Faire le choix de la cohésion au sein du parti ;
Offrir au Bénin un leadership jeune, discipliné et enraciné dans toutes les régions ;
Montrer que Les Démocrates ne sont pas dans la réaction, mais dans la construction responsable d’une alternative crédible.
Le Bénin a besoin de rassembler, pas de diviser
À l’heure où notre pays aspire à une alternance apaisée, à une gouvernance inclusive, à un nouveau souffle politique, la figure d’Armel Sourou Degan incarne cette espérance. Il est l’équilibre qui rassure, la solution qui pacifie, le visage d’un Bénin possible, libéré des clivages stériles.
Armel Sourou Degan, c’est un nom, mais surtout un projet d’unité, une méthode de rassemblement, une discipline au service d’un rêve national.
Et ce rêve ne pourra devenir réalité que si Les Démocrates osent le bon choix, au bon moment.
Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons construire le Bénin de nos rêves.