Candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2026 au Bénin, Daniel Edah a pris la parole pour exposer sa vision et lancer un appel fort à ceux qui détiennent le pouvoir de parrainage. Dans un discours empreint de responsabilité et d’espoir, il a tendu une main ouverte au dialogue, à la réconciliation et à la paix.
« Je vous tends une main de dialogue et de responsabilité. Parrainer la candidature de Daniel Edah, ce n’est pas simplement soutenir un homme ; c’est choisir un chemin sûr pour le pays. »
En s’adressant aux potentiels parrains politiques, Daniel Edah souligne que son ambition dépasse sa personne. Il propose une alternative apaisée, porteuse d’un avenir commun, d’une sortie de crise sans humiliation, et d’un nouveau contrat social.
« Parrainer la candidature de Daniel Edah, c’est faire le choix de la paix, de l’apaisement politique, de la sortie honorable de crise pour tous les protagonistes. Parrainer la candidature de Daniel Edah, c’est permettre au Bénin de panser ses blessures sans humiliation, de réconcilier ses enfants sans vainqueur ni vaincu. »
Au-delà du discours, sa candidature se veut porteuse d’un projet national fondé sur quatre piliers : la paix, la justice, la prospérité et la dignité. L’objectif affiché est clair : restaurer la confiance entre les citoyens, reconstruire les fondements démocratiques du pays et ouvrir une ère nouvelle de gouvernance inclusive.
Parmi les axes forts de son programme figure la mise en place d’une économie de production et de transformation, censée constituer la clé de voûte d’un développement économique endogène, inclusif et durable.
« Cette économie est la solution pour l’emploi des jeunes, la prospérité de l’entreprise privée, la prospérité des femmes qui initient des activités génératrices de revenus, la réussite des jeunes qui entreprennent et la dotation de nos économies locales de leurs indispensables colonnes vertébrales », a-t-il déclaré.
Daniel Edah entend engager, dès 2026, la construction d’un tissu économique structuré autour de la production locale, de la transformation industrielle et de la création d’unités économiques dans les 77 communes du pays. Cette décentralisation économique vise à rapprocher la richesse des populations, à lutter contre la pauvreté de manière concrète, et à bâtir une prospérité véritablement partagée.
Pour lui, il est temps d’entamer une nouvelle étape dans l’histoire du Bénin, une étape marquée par la réconciliation, l’inclusion et la transformation économique. Son appel s’adresse non seulement aux acteurs politiques mais à l’ensemble des citoyens, dans un esprit de rassemblement et d’avenir partagé.