Réaction tardive et inopportune  sur la tentative de coup d’Etat : Quand le fauteuil  de ministre conseiller fait délier certaines langues ( Sans aucun titre, Loth Houénou défend Talon)

C’est l’intérêt qui guide le monde des politiciens au Bénin et  autour du président Patrice Talon certains n’hésiteront toujours pas à le poignarder dans le dos lorsque  leurs intérêts personnels ne seront plus en jeu. Les récentes nominations au poste de ministre conseiller font délier certaines langues qui s’étaient murées dans un silence lugubre. Il a fallu que certaines personnes  qu’on croyaient avoir avalé leur langue  trouve ce joli gâteau qu’ils redeviennent encore défenseur chevronné de Patrice Talon. Donc ceux là savaient parler autant mais ne trouvaient rien à dire  depuis l’éclatement de cette affaire. Tout porte à croire que c’est le fauteuil de ministre conseiller qui donne l’inspiration. Mais ils sont très mal inspirés. Ils étaient où quand les affaires Steeve Amoussou, relecture du code électoral que demande l’opposition depuis la nuit des temps et autres agitaient le pays ? À part le buffle de Parakou, Rachidi GBADAMASSI et le tonitruant Loth Houénou qui cassaient tout sur leurs passages, certains grands bavards d’aujourd’hui ont pendant tout ce temps pratiqué la politique du singe.

Loth HOUENOU pratiquement devenu l’enfant prodigue de la République, sans aucun poste de responsabilité avait pris le devant de la scène pour défendre à corp et à cri, la gouvernance du président TALON. Il lui arrive même des fois, quand bien même il n’a rien à la maison, de prendre forfait internet à credit pour monter sur les réseaux sociaux et défendre Patrice Talon sur des sujets d’actualité. Seul, le leader charismatique de Djeffa faisait face à toute l’opposition et il nest même pas encore prêt à s’arrêter en si bon chemin. Le président Patrice Talon doit récompenser ce jeune intrépide qui fait beaucoup pour lui, au lieu de faire la promotion des opportuno- profito-situationnistes en perte de vitesse.

Que les gens se taisent, on a tout compris. 20 ans c’est peu Djan !

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