La 2 ème session ordinaire de l’année 2025 du bureau exécutif national du parti FCBE tenue il y a quelques jours a accouché d’importantes décisions dont la suspension de quelques ‘leaders indélicats. Cette mesure mise en place par le Secrétaire Exécutif National du parti Paul HOUNKPÈ pour remettre les pendues à l’heure en vue des échéances électorales de 2026 est pratiquement devenue une couleuvre difficile à avaler pour l’ ancien ministre Alain François Adihou qui fait pattie de la liste. Comme un môme, un petit enfant à qui on vient d’arracher le biberon ce dernier pleurniche et raconte son malheur à qui veut l’entendre. Il parcourt de médias en médias pour se faire entendre. Or, depuis 2021 ou le parti Cauris a eu l’amabilité de l’accepter après son départ de la FCDB du professeur Soumanou Toleba, Alain François Adihou n’avait plus pipé mot. Il avait pratiquement disparu de la scène politique. La bouche qui mangeait ne parlait pas. Mais c’est bien curieux que cette suspension lui delie subitement la langue pour qu’il puisse déblatèrer sur le parti, son bienfaiteur d’hier. On l’a vu en 2016 dans la mouvance, avant la FCDB et on sait tout ce qui s’est passé là-bas. Aujourd’hui encore, l’homme s’illustre négativement sur la scène politique. Sans nul doute, c’est un gros cadeau sur lequel il avait mis tout son espoir que Paul HOUNKPÈ vient de lui arracher à un moment où s’y attend le moins. . Son regain d’activités ces derniers jours après tout ce long silence doit faire réfléchir. Alors qu’il parle de demission, nous apprenons que le courrier n’a pas été reçu par les responsables du parti. Le coursier envoyé pour déposer la lettre de démission aurait été renvoyé car ne repondant au processus tel que prévu par les textes. Dans quel état se trouve l »ancien ministre Adihou qui ne sait pratiquement où se donner de la tête ? De toute façon, pas de complaisance au parti Force Cauris pour un Bénin Emergent. Comme tous les autres partis politiques sérieux, la FCBE n’ entend pas céder à l’impunité. Allez dire à Alain Adihou qu’on a compris les dessous de jérémiades.