Dans une déclaration publique, Daniel Edah, ancien candidat à l’élection présidentielle au Bénin et président du mouvement Nous Le Ferons, a exprimé sa gratitude et adressé ses félicitations aux principaux acteurs de l’accord de paix récemment signé à Washington, visant à mettre fin au conflit persistant dans l’Est de la République Démocratique du Congo.
Dans son message, Daniel Edah rend d’abord hommage au président américain Donald J. Trump, qu’il remercie pour « son engagement et son rôle déterminant » dans la facilitation des discussions ayant abouti à cet accord historique. Selon lui, l’implication de l’ancien président américain a été décisive pour créer les conditions d’un dialogue constructif entre les parties.
Un signal fort de leadership africain
L’homme politique béninois adresse ensuite ses « chaleureuses félicitations » aux présidents Félix Antoine Tshisekedi de la RDC et Paul Kagamé du Rwanda. Il salue chez les deux dirigeants « un sens de responsabilité historique », ainsi qu’un « courage politique » ayant permis l’ouverture d’une nouvelle phase de stabilité, de dialogue et de coopération dans la région des Grands Lacs, longtemps fragilisée par des tensions récurrentes.
Cette dynamique positive, souligne Daniel Edah, a également été rendue possible grâce à la participation remarquée de plusieurs chefs d’État africains. Leur présence à Washington, insiste-t-il, témoigne de l’attachement du continent entier à la recherche de solutions durables et concertées pour la paix.
Un processus soutenu par des partenaires internationaux
Le président du mouvement Nous Le Ferons n’a pas manqué de saluer également le rôle de l’Union africaine, dont la contribution diplomatique a été, selon lui, « précieuse » pour la réussite du processus. Il exprime par ailleurs sa reconnaissance à l’État du Qatar, dont le soutien discret mais constant a accompagné les différentes étapes ayant mené à la signature de l’accord.
Pour Daniel Edah, la portée de cette entente dépasse le cadre strictement politique : elle représente l’espoir d’un tournant décisif pour les populations meurtries de la région des Grands Lacs. Il formule ainsi le vœu que ce texte « marque le début d’un avenir pacifié et prospère » pour les peuples concernés.
À travers cette prise de position, Daniel Edah réaffirme son attachement à la paix, à la diplomatie et au dialogue comme fondements indispensables au développement et à la stabilité du continent africain.





