À l’approche des élections législatives du 11 janvier 2026, le parti Les Démocrates a publié sa liste de candidats. En tête de la 19ᵉ circonscription (Porto-Novo, Sèmè-Kpodji, Adjarra, Aguégués) figure Akim Radji : un choix qui ne relève pas du hasard. Ce positionnement illustre la volonté du parti de miser sur un profil capable non seulement de gagner des voix, mais surtout de fédérer les populations autour d’un projet de changement crédible.
En misant sur Radji, Les Démocrates montrent clairement qu’ils recherchent plus qu’un simple nom — ils veulent un homme d’influence, ancré localement, avec un bilan tangible à faire valoir.
Un passé de proximité et d’actions concrètes à Porto-Novo
Akim Radji a d’abord exercé comme conseiller, puis chef du 1ᵉʳ arrondissement de Porto-Novo. Sous sa gestion, il aurait entrepris des tournées dans les quartiers de l’arrondissement, écoutant directement les préoccupations des habitants — une démarche rare dans le contexte de la politique locale.
Selon les récits évoqués à plusieurs reprises, il aurait ensuite porté ces doléances (assainissement, voirie, éclairage, réhabilitation des voies, environnement) auprès des autorités compétentes — ce qui, pour ses partisans, témoigne de sa capacité à traduire les attentes citoyennes en actes.
C’est cette proximité avec les populations, et ce sens du concret, qui le distingue : loin des discours creux, il semble incarner l’idée de l’élu-serviteur, présent, à l’écoute, qui agit pour améliorer le quotidien.
Un “animal politique” capable de fédérer et d’orienter le scrutin
Le choix d’Akim Radji comme tête de liste dans la 19ᵉ circonscription en dit long sur la stratégie des Démocrates : il s’agit de convaincre — non seulement les électeurs de Porto-Novo, mais également ceux de Sèmè-Kpodji, Adjarra ou Aguégués — que ce qui importe, ce sont les actes, le bilan, et la capacité à rassembler.
Radji apparaît comme un homme de terrain capable de rassembler des électeurs issus de milieux variés — urbain, péri-urbain, rural — autour d’un projet de développement et de reconstruction locale. En ce sens, il incarne le profil recherché : un leader crédible, charismatique, capable d’unir et de mobiliser.
Pour Les Démocrates, qui visent un maximum de sièges, un tel profil est un atout sérieux. Plutôt qu’un candidat fantoche, Radji est un pari sur l’efficacité, la représentativité et la proximité — trois éléments essentiels pour transformer les ambitions électorales en victoire.
Un retour inévitable à l’Assemblée nationale, et surtout un retour des actes
Ce n’est pas seulement sa candidature qui séduit, mais l’espérance qu’il incarne — celle d’un retour à un fonctionnement plus concret, plus proche des citoyens, à l’Assemblée nationale. Un député qui connait les réalités de la base, qui a déjà travaillé dans les quartiers, auprès des populations, et qui pourrait, s’il est élu, porter avec authenticité les préoccupations de sa circonscription.
Ainsi, Les Démocrates n’envoient pas un simple nom sur la liste : ils envoient un homme façonné par le terrain, prêt à transformer l’espoir en réalisations — un « animal politique » à même de fédérer les différentes couches sociales, d’inspirer confiance, et de porter une ambition collective pour la région.
Enjeux 2026 : le pari de la représentativité — et de la victoire
Le Bénin est à un tournant. Dans un contexte de recomposition politique, la bataille pour les sièges à l’Assemblée nationale se jouera partout, mais particulièrement dans les circonscriptions stratégiques comme la 19ᵉ.
En alignant un candidat comme Akim Radji, Les Démocrates font le pari de la représentativité réelle — celle d’un élu qui a prouvé qu’il savait écouter, agir, mobiliser. Si le pari réussit, ce sera non seulement un gain pour le parti, mais surtout un signal fort pour la démocratie locale : que les élus soient les reflets des aspirations populaires, et non des simples étiquettes partisanes.
Un signal fort — et une responsabilité lourde
En choisissant Akim Radji, Les Démocrates marquent leur volonté de présenter l’opposition comme crédible, ancrée localement, et tournée vers les besoins des populations. Ce choix en dit long sur leur ambition : pas seulement gagner des sièges, mais instaurer une nouvelle façon de faire la politique — centrée sur l’humain, le concret et le terrain.
Akim Radji incarne ce pari. S’il confirme sur le terrain, il pourrait bien être la figure qui rassemble, convainc et incarne l’alternance espérée. Mais la responsabilité est grande : à lui de transformer cette confiance en actes, et à la population de le juger sur les résultats.
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