À l’approche de l’élection présidentielle de 2026, Les Démocrates font face à un choix déterminant pour le futur du Bénin. Parmi les personnalités en lice, Daniel Edah apparaît comme un candidat dont le profil, la vision et les positions récentes répondent non seulement aux attentes d’un électorat en quête de renouveau, mais également aux défis majeurs que traverse le pays. Voici pourquoi sa désignation s’impose.
Un homme avec une vision claire et structurée
Depuis l’annonce officielle de sa candidature le 29 mai 2025, Daniel Edah ne cesse de marteler l’importance d’un projet de société fondé sur une vision forte plutôt que sur des promesses creuses ou des ambitions personnelles.
Son projet s’articule autour de douze piliers, avec trois grands axes stratégiques :
la relance économique via la production locale, l’industrialisation décentralisée et le soutien à l’entrepreneuriat des jeunes,
la cohésion sociale, la justice, la redevabilité, l’accès équitable aux services publics comme l’éducation et la santé, et la réconciliation nationale,
l’engagement africain : une diplomatie active, un renforcement des coopérations régionales dans un contexte continental en pleine mutation.
Cette approche multidimensionnelle montre qu’Edah ne propose pas une candidature de circonstance, mais une ambition bien définie pour le développement à long terme du Bénin.
La capacité de mobilisation et le sérieux institutionnel
Parrainages requis : dans un contexte où le parrainage reste une étape-clé et souvent contraignante, Daniel Edah affirme qu’il dispose déjà des parrainages nécessaires pour valider sa candidature.
Cela marque une avance concrète par rapport à d’autres prétendants, qui peinent encore à rassurer sur ce point.
Edah montre également qu’il comprend les rouages institutionnels : il encourage un dialogue serein avec les élus pour obtenir leur appui — non comme faveur personnelle, mais comme acte de responsabilité envers la nation.
Un positionnement apaisant dans une période de tension
Le Bénin connaît aujourd’hui des défis sérieux en matière de cohésion sociale, d’unité nationale, et de confiance vis-à-vis des institutions. Daniel Edah insiste depuis longtemps sur la nécessité de réconciliation, de libération des détenus politiques, et du retour des exilés.
Sur le plan politique, il a salué l’adoption de la Vision Bénin 2060, rappelant l’importance de la continuité, tout en sommant les acteurs politiques de ne pas répéter les erreurs du passé — qu’il s’agisse de “Bénin 2025 Alafia” ou d’autres plans prospectifs restés lettre morte.
Un candidat qui incarne un pont entre les générations et les sensibilités
Il s’adresse spécifiquement aux jeunes, aux femmes, aux communautés rurales, aux entrepreneurs locaux — catégories souvent marginalisées mais essentielles pour l’avenir du pays.
Son discours se veut inclusif, rappelant les acquis des présidences précédentes (Soglo, Kérékou, Yayi, Talon) plutôt que d’en faire table rase. Cela peut rassurer ceux qui craignent les ruptures trop brusques.
Les risques si Les Démocrates ne désignent pas Daniel Edah
Si le parti opte pour une autre candidature ou s’en tient à un compromis, trois dangers se profilent :
1. Manque de crédibilité : face à un électorat exigeant, des candidatures peu lisibles, sans vision forte ou sans garanties concrètes, risquent de renforcer le cynisme politique.
2. Division interne : un choix flou ou contesté peut creuser les fissures dans le parti, affaiblissant sa capacité à se positionner comme une alternative crédible.
3. Opportunité perdue : Daniel Edah est déjà en train de marquer le terrain, de construire un discours, de gagner du terrain médiatique et institutionnel. Ne pas profiter de cet élan, c’est risquer de laisser l’initiative à d’autres, moins préparés ou moins justes dans leur engagement pour la paix et le développement.
Un choix nécessaire pour un avenir stable
Les Démocrates ont l’occasion, par la désignation de Daniel Edah, de proposer au Bénin un chemin de stabilité, de renouveau et d’espoir partagé. En désignant un candidat au profil solide, porteur d’une vision claire et respectueux des institutions, le parti marque sa responsabilité historique : celle de sortir des mots pour entrer dans l’action, de reconstruire la confiance entre le peuple et ses dirigeants, de préparer une ère où le développement cesse d’être un slogan pour devenir une réalité tangible.
