Implication d’un supposé manager de Vano Baby dans l’affaire Hounvi: Richard Flash de la Centrale Company réagit et clarifie
Sur la radio Campanile Cité FM, Richard Flash, PDG de la Centrale Company, chargée de la promotion de l’artiste Vano Baby n’a pas fait la langue de bois au sujet de la rumeur impliquant le manager de son artiste dans l’affaire Hounvi.
Après la diffusion d’un communiqué impliquant un prétendu manager de l’artiste dans cette affaire qui fait couler beaucoup d’encre et de salivé, Richard Flash, PDG de la Centrale Company, a rétabli la vérité. Il a donné l’identité réelle du vrai manager de l’artiste qui n’est rien d’autre que le sœur Romaric ZOMAHOU.
Qu’il vous souvienne que depuis quelques jours, l’affaire d’arrestation de Steve AMOUSSOU, connu sous le sobriquet frère Hounvi a connu un nouveau rebondissement. Au cours d’une enquête préliminaire, le parquet de Lomé a émis un mandat d’arrêt international contre certains Béninois. Parmi eux se trouve une personne prétendument le manager de l’artiste VANO BABY, du nom de Gbaguidi. Ce qui a suscité des réactions sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Mais Richard Flash apporte la lumière dans cette obscurité et dénonce cette contre-campagne visant son artiste. Pour lui, le nom de Vano Baby est associé à cette affaire de façon calomnieuse dans le but de détruire la carrière du jeune artiste.
« Être manager n’est pas une fonction publique dont on parle, car cela ne figure pas sur une pièce d’identité », déplore Richard Flash à propos de ce communiqué dénué de sens en ce qui concerne le rapprochement avec l’artiste. Il poursuit en expliquant que le sieur Gbaguidi n’a jamais été collaborateur de sa structure, la Centrale Company, mais qu’il le voit souvent avec Vano en tant qu’ami.
Cependant, il déplore le silence des acteurs du showbiz alors qu’il connaît bien le vrai manager de l’artiste VANO BABY. Le vrai et unique manager de Vano Baby se trouve actuellement en Suisse, tandis que l’artiste est aux États-Unis. En temps voulu, le manager rétablira la vérité, affirme-t-il.
Richard Flash affirme qu’ils attendent actuellement que la vérité triomphe, tout en laissant les deux États gérer l’affaire. « Les Béninois doivent savoir qu’ils n’ont pas la responsabilité de qualifier des faits, et nous devons défendre notre identité et notre pays par patriotisme. Avoir des différends avec certains acteurs du moment ne doit pas nous amener à détruire la notoriété de notre pays. Nous devons rappeler que le Bénin et le Togo sont des pays frères », affirme-t-il. Il invite également les Béninois à rester calmes et à faire confiance à la justice pour un dénouement heureux de cette affaire d’arrestation de frère HOUNVI.
