Bon à savoir: 3 choses à ne jamais  faire après le « Mougouli »

LA DIRECTION DE PUBLICATION
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Claude Dieudonné ADJIKPA est une figure emblématique de la presse écrite béninoise. Journaliste chevronné et promoteur du journal Palabre au Quotidien et du site d’information palabreauquotidien.bj,...
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Les moments qui suivent un mougouli  sont tout aussi importants que ceux qui le précèdent. Que ce soit pour des raisons de bien-être, d’hygiène ou de santé sexuelle, certains gestes sont à éviter pour ne pas perturber l’équilibre naturel du corps. Voici trois erreurs courantes à ne pas commettre après un exercice de 4 pieds, deux têtes, selon les recommandations de professionnels de la santé.

1. Ne vous levez pas précipitamment : prenez le temps de respirer

Il peut être tentant de se lever immédiatement après un rapport, que ce soit pour aller se laver ou se rhabiller. Pourtant, il est conseillé de rester allongé quelques instants. Cela permet au corps de revenir progressivement à son rythme normal après l’effort physique et émotionnel que représente l’acte.

Profitez de ces minutes pour respirer profondément, détendre les muscles et simplement savourer le moment. Se lever trop vite peut provoquer une sensation de vertige ou une chute de tension, surtout après une activité intense.

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2. Évitez les savons agressifs : préférez l’eau tiède

L’envie de se nettoyer juste après le rapport est naturelle, mais l’usage de savons parfumés ou irritants sur les zones intimes est fortement déconseillé. Ces produits peuvent déséquilibrer la flore v@gin@le ou irriter la peau délicate des parties g3nitales.

Préférez un simple rinçage à l’eau tiède, ou à la rigueur un savon doux au pH neutre spécialement conçu pour l’hygiène intime. Chez les femmes comme chez les hommes, un nettoyage trop agressif peut favoriser les infections ou les irritations.

3. Ne retenez pas l’envie d’uriner : écoutez votre corps

Après le mougouli, si vous ressentez le besoin d’uriner, allez-y sans attendre. Uriner permet d’éliminer les bactéries qui pourraient avoir été introduites dans l’urètre pendant l’activité s3xu3ll3, notamment chez les femmes, ce qui réduit le risque d’infections urinaires.

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Ignorer cette envie ou la repousser peut favoriser la prolifération de germes et, à terme, entraîner des désagréments comme des brûlures urinaires ou des cystites.

En résumé : douceur, écoute et hygiène respectueuse

Le moment post-coïtal est un temps de retour au calme, de connexion et de soin. En évitant les gestes brusques, les produits agressifs et en respectant les signaux de votre corps, vous contribuez à une s3xu@lité saine et agréable.

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Écouter son corps, c’est aussi prendre soin de sa santé s3xu3ll3.

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Claude Dieudonné ADJIKPA est une figure emblématique de la presse écrite béninoise. Journaliste chevronné et promoteur du journal Palabre au Quotidien et du site d’information palabreauquotidien.bj, il s’impose comme une voix respectée dans le paysage médiatique national. Doté d’une passion inébranlable pour le journalisme, il fait ses premiers pas au journal Le Béninois, puis Le Béninois Libéré, où il se distingue rapidement par la rigueur de ses analyses et la pertinence de ses contributions aux débats sociopolitiques. Son parcours, marqué par le sérieux et la constance, lui vaut l’estime de ses pairs et du grand public. Visionnaire, Claude Dieudonné ADJIKPA fonde Palabre au Quotidien avec l’ambition claire de rapprocher l’actualité des citoyens. À travers ses publications variées, allant de la politique aux faits de société en passant par le sport, il contribue à éclairer l’opinion publique tout en défendant les valeurs fondamentales de la liberté de la presse. Reconnu pour son intégrité, son professionnalisme et son engagement indéfectible envers l'information juste et accessible, il s’affirme aujourd’hui comme l’un des piliers du journalisme béninois contemporain.